
De Gaulle, qui sait mieux que quiconque ce que la France doit à la Grande Bretagne et aux États-Unis d’Amérique, après le désastre de juin 1940, n’en a pas moins un regard lucide sur la menace que constitue l’invasion culturelle américaine, qui perdure et s’amplifie depuis lors.
L’excellent reportage diffusé sur la 5 montre la façon dont De Gaulle exerçait un interventionnisme de tous les instants : respect des sigles en français ; refus de lire les télégrammes diplomatiques rédigés en anglais, car le français est aussi...
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