
Lors de l’intervention du phénomène Greta Thunberg au siège de l’ONU, Shakespeare a dû relever la tête dans sa tombe en entendant déclamer la jeune suédoise qui semble hypnotiser l’intelligentsia bien-pensante. Campé sur une posture tragique, son accent suédois guttural révèle la nature shakespearienne de la jeune femme. Le grand auteur l’enrôlerait sans conteste. Il lui apprendrait sans aucun doute à réciter par cœur un texte de quatre lignes. Puis, il saurait mettre en valeur le pouvoir d’ensorcellement qu’elle dégage et qui épouse...
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