Les cheminots écrivains remparts de la langue française
Bravo au CLEC pour son patriotisme culturel. Colère et indignation du Cercle littéraire des écrivains cheminots devant "la perfidie des marchands, la bêtise des communicants, la complaisance des médias, le snobisme de ceux qui truffent leurs propos de termes anglo-américains et la complaisance coupable des pouvoirs publics".
En effet, mis à part la référence du président du conseil constitutionnel à la défense de la langue de la république lorsqu'il "intrônise" le nouveau président de la république, je n'ai vu comme action concrète du gouvernement que la circulaire de la ministre Annick Girardin rappelant aux acteurs de la Fonction Publique française qu'ils devaient parler français, c'est peu dire...
Voici un extrait de la revue du CLEC, dont on appréciera l'humour "pour que (sur)vive la langue française".
Réjouissons-nous qu'une corporation qui a façonné l'histoire de France depuis près de 2 siècles, notamment par son rôle dans la période sombre de la seconde guerre mondiale, montre tant de talents littéraires qui peuvent servir d'exemples !